mardi 12 mai 2009

Présentation, description d’un poste informatique

















L’ordinateur, ou unité centrale, est constitué d’un boîtier qui renferme :
une alimentation fournissant l’énergie à tous les éléments ;
la carte mère avec le microprocesseur et les composants devant être très proches de lui (circuits intégrés divers, barrettes de mémoire…) ;
les périphériques internes (cartes électroniques enfichées dans des connecteurs : carte graphique, carte son…) ;
les périphériques externes (écran, souris, clavier, imprimante…). La communication entre la carte mère et ces périphériques se faisant via les ports d’entrée/sortie. Certains de ces périphériques sont toujours connectés à l’unité centrale (écran, clavier…) d’autres se connectent à des connecteurs externes (appareil photo, caméscope, clé USB…). Pour reconnaître et exploiter ces périphériques externes, l’ordinateur a besoin de pilotes ou drivers de périphérique. C’est un logiciel livré sur cédérom avec le périphérique, téléchargeable sur le web.
Vous trouverez des animations très bien faites sur :
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/carrefour_numerique…
et des explications concernant l’informatique sur :
http://www.commentcamarche.net/ cette encyclopédie peut être téléchargée pour être utilisée en autonomie sans connexion internet.
http://info.sio2.be/infobase/index.php une présentation des connaissances et pratiques de base en informatique (avec des quiz).
les quiz sur l’utilisation d’un ordinateur et de ses logiciels dans notre dossier thématique B2I :
http://crdp.ac-dijon.fr/Presentation-et-acces-aux-quiz.html
Les périphériques externes sont généralement classés en trois familles :
les périphériques d’entrée (qui apportent les données au microprocesseur) ;
les périphériques de sortie (qui permettent de traduire les données du microprocesseur en données lisibles par l’utilisateur) ;
les périphériques de stockage appelés aussi mémoire de masse (en lecture seule ou en lecture écriture).
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Approche du fonctionnement d’un ordinateur
Le microprocesseur est au cœur de tous les traitements réalisés par l’ordinateur. Il est caractérisé par sa vitesse (en Ghz) et la quantité de données qu’il peut manipuler (en bits). Ces données sont organisées en fichiers déposés en mémoire.
La mémoire de l’ordinateur est constituée :
de la mémoire morte ROM (Read Only Memory), qui contient les instructions permettant le démarrage et les premiers contrôles de fonctionnement de l’ordinateur ;
de la mémoire vive ou RAM (Random Access Memory), mémoire qui stocke des données tant que l’ordinateur est allumé ;
d’une mémoire de masse : le disque dur. Les données restent présentes même lorsque l’ordinateur s’éteint. C’est une mémoire à long terme.
On peut schématiser le fonctionnement interne de l’ordinateur ainsi :
Ce fonctionnement explique la présence des fichiers temporaires et donc des différents caches. Normalement ces fichiers disparaissent à la fin du travail demandé mais parfois ils restent et encombrent le disque dur.
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Branchement des périphériques à un ordinateur
Selon le connecteur utilisé, les périphériques peuvent ou non se brancher « à chaud » (ordinateur allumé). Dans tous les cas, le débranchement doit se faire à l’arrêt ou en suivant certaines précautions.
Schéma
Connecteur utilisé
Branchement
Débranchement
Observations
Ports PS2 (clavier souris)
À l’arrêt
À l’arrêt
Port LPT - COM
À l’arrêt
À l’arrêt
Connecteur vidéo
À l’arrêt
À l’arrêt
Port LAN
En fonctionnement
En fonctionnement
Redémarrage parfois nécessaire
Port USB
En fonctionnement
En fonctionnement
Voir procédure ci-dessous
Connecteurs son
En fonctionnement
En fonctionnement
Port IEEE (1394)
En fonctionnement
En fonctionnement
La fiche « Exercice 1 » disponible avec d’autres documents
dans le bas de cette pageest un fichier de dessin Openoffice permettant de repérer les connecteurs d’une unité centrale.
Procédure pour les clés USB, disques durs externes ou appareils photo :
Lors du branchement apparaît une nouvelle icône dans la zone de notification :
avant de débrancher votre périphérique il faut cliquer sur cette icône et demander à retirer le périphérique en toute sécurité ;
une fois cette demande réalisée l’ordinateur vous indique quand vous pouvez retirer la clé. S’il vous indique que cela n’est pas possible, quittez les logiciels en cours ou les fenêtres ouvertes avant de réessayer. Si cela n’est toujours pas possible, arrêtez votre ordinateur avant de déconnecter votre périphérique.
Remarques : les ordinateurs récents possèdent plusieurs connecteurs USB. Il arrive parfois que les connecteurs en façade ne possèdent pas une alimentation suffisante pour permettre le fonctionnement de certaines clés ou de certains périphériques, essayez alors de les brancher sur les connecteurs arrières. Si votre unité centrale manque de connecteurs USB il existe des hubs (sorte de prises multiples USB) qui augmentent le nombre de prises USB. Certains périphériques USB ne fonctionnent pas (ou mal) avec des câbles trop longs. « Exercice 2 » : brancher et débrancher une clé USB d’un système informatique en toute sécurité.
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Pour télécharger ces documents
Remarque aux utilisateurs d’Internet Explorer : un clic droit sur l’icône du document à télécharger vous permet de l’enregistrer sur votre disque dur, un clic gauche charge directement le document dans Openoffice (patience, ce chargement est plus long !).

Choisir un poste de travail : priorité au coût


Quels critères pour choisir un poste de travail informatique ?

Plus de la moitié des entreprises ignorent combien leur coûtent leurs postes de travail PC… Si les coûts du matériel baissent rapidement, les problèmes de support, eux, vont souvent en augmentant, selon le degré de standardisation du matériel et du logiciel ! Pour optimiser le coût du matériel informatique, il convient avant tout de calculer le coût réel des installations et de choisir les postes et les applications ad hoc.
Calculer le coût de ses PC
Pour bien choisir votre matériel, il faut dépasser son prix d'achat pour considérer son TCO (Total Cost of Ownership ou coût total de possession), qui comprend l’ensemble des dépenses accompagnant le matériel : prix du PC, consommables, énergie, maintenance, ressources humaines, formations, supports, etc.
Le TCO vous offre une vision synthétique des coûts réels de votre informatique et des économies que vous pourriez réaliser en l'optimisant. Vous songerez alors peut-être à recourir à des solutions de financement, de location, ou même confier à une société tierce l'achat et la gestion de votre parc. De nombreuses formules existent : infogérance, leasing, crédit-bail, location financière, location évolutive.
I-cosoft Benchmark IT (
http://benchmark.i-cosoft.com/) vous permet de comparer en ligne vos investissements informatiques par rapport à la moyenne de votre secteur.
Choisir des postes adaptés aux besoins des collaborateurs
Ciblez les attentes de chaque utilisateur et privilégiez plutôt les produits de milieu de gamme, éprouvés sans être obsolètes. Traditionnellement, le poste de travail principal se décline sous la forme du 'desktop', qui associe une unité centrale - CPU (Central Processing Unit) ou processeur pour traiter l'information, sur sa carte mère qui recueille les composants électroniques de base de l'ordinateur, dont la mémoire (pour stocker temporairement applications et données sur lesquelles on travaille), une carte graphique pour l'affichage, un disque dur pour conserver les données, une alimentation électrique et des ventilateurs, et les composants I/O d'entrée/sortie – un écran, un clavier et une souris, sans oublier le système d'exploitation pour piloter l'ensemble et exécuter les applications.
Ce type de configuration présente trois intérêts : le prix, généralement le desktop est le moins cher des PC ; le confort d'utilisation, avec un clavier de taille normale, une souris plus ergonomique qu'une tablette sous le pouce, et un écran large ; et l'évolutivité, pour passer sur un écran plus grand, ajouter un disque dur, ajouter de la mémoire lorsque l'on adopte des applications plus puissantes, changer une pièce défectueuse, etc. Son gros point faible provient du volume occupé, qui impose de fixer le 'desktop' sur un bureau.
Deux autres types de postes peuvent se révéler intéressants pour des besoins légers à lourds :
L’ordinateur portable permet la mobilité, sans aujourd'hui céder sur les performances, grace à sa compacité. Un 'laptop' offre également l'opportunité de réaliser de réelles économies d'énergie, puisque sa consommation électrique est prise en compte dès sa conception (écran LCD, etc.). Pour un portable à déplacer mais qui ne sera pas utilisé en mobilité, utilisé uniquement sur un bureau dans l'entreprise ou au domicile, privilégiez un laptop 17 pouces, avec un écran plus large donc plus confortable et un clavier qui dispose d'un pavé un numérique. L'autonomie des batteries n'est alors pas une caractéristique essentielle. Tous les portables disposent aujourd'hui de la connectivité maximale pour travailler, Wi-Fi pour la connexion sans fil, Ethernet, ports USB... En revanche, un ordinateur portable n'est pas évolutif...
Le client léger est un poste réduit qui se limite à afficher les applications provenant de serveurs ou sous la forme de pages Web. Idéal pour une utilisation Internet, bureautique et écrans de saisie d'ERP (solutions de gestion), il accède directement au serveur où il puise les applications et les données dont il a besoin. Ses atouts sont nombreux : en terme de sécurité (pas de données ou d’applications en local sur le poste client), d’administration (contrôle des postes depuis la console administrateur) et de maintenance (temps de déploiement réduits, taux de panne très faible, durée de vie élevée). Le client léger bénéficie en outre d’une faible TCO. Il utilise par contre beaucoup de bande passante et ne permet l'utilisation du logiciel qu'en mode connecté. On utilisera alors un 'palliatif' pour accéder hors-ligne à des services fonctionnant normalement en ligne. Il faut aussi remarquer que le client léger présente le gros défaut d'être strictement limité dans ses usages aux applications que l'entreprise rend accessible et qu'elle a choisi pour un usage en volume. Pas d'application personnelle par exemple, même si elle s'impose dans le métier de son utilisateur !
Choisir ses applications déportées
Bien choisir la manière de délivrer les applications sur le poste de travail peut diminuer fortement vos coûts et pour cela, n’hésitez pas à utiliser largement les possibilités offertes par les services innovants :
Utilisez les ressources disponibles en ligne, avec les RIA (Rich Internet Application) des interfaces enrichies associées à des applications et la technologie SaaS (Software as a Service) accessibles en ligne. Elles vous donnent accès à des services ou logiciels informatiques depuis le navigateur internet, sans aucune installation. Economiques, faciles à utiliser et personnalisables selon vos besoins, elles sont généralement utilisées directement, mais nécessitent systématiquement que le poste reste connecté.
Les RDA (Rich Desktop Application) s’exécutent sur le poste de travail comme une application bureautique classique. Leur but est d’apporter sur le bureau l’interactivité et la souplesse que l’on trouve sur Internet.
Enfin, on peut dans certaines circonstances choisir les applications Open Source, qui en matière de développement permettent une libre redistribution, un accès au code source et la réalisation de travaux dérivés. Ces applications sont certes accessibles gratuitement, encore faut-il qu'elles soient supportées par vos services et/ou prestataires. Il faut également prendre en compte les usages et compétences des utilisateurs. Le prix de la licence d'un logiciel propriétaire peut être considéré comme élevé, mais lorsque l'utilisateur est formé sur ce produit, il est directement opérationnel. C'est le cas par exemple de nombre d'utilisateurs des solutions Office de Microsoft, Word, Excel et Powerpoint, qui par habitude refusent de passer sur OpenOffice pourtant gratuit...
Glossaire
RIA : Rich Internet ApplicationsRDA : Rich Desktop ApplicationSaaS : Software as a ServiceTCO : Total Cost of Ownership

Introduction au système d'exploitation MS-Dos


A lot of people heard quite a lot about the MS DOS emulator dubbed DOSBox. Some of them were even given an opportunity to use it from time to time, but most of them — prospective users — are scared off by its seemingly complex configuration. A whole generation born in the 1980s was raised alongside the “Windows” environment or Linux systems when they gained in popularity. However, the author’s generation warmly reminisces of the good ol’ times of Doom and Duke Nukem 3D, or Wolfenstein 3D, which became a blueprint for all future FPSs and was dubbed a classic of its kind. I will try to make the configuration intricacies of the DOS emulator more understandable. But first…
Pre-DOS times
The PC boom in the 80s brought to life a whole range of new 8-bit home computers with such brands (also known in Poland) as Sinclair, Atari, Commodore, and Timex, among others. Rising numbers of PC hardware manufacturers brought a lot of problems to software and game developers. The crux of the matter was the fact that the first personal computers were not hardware and software compatible. Nearly all the manufacturers went for their money by inventing and touting new but proprietary technologies. Sometimes the policy brought results and created a whole range of successful products like the ZX Spectrum, Commodore 64, and Atari. Sometimes we were witnesses to spectacular failures as in the cases of Commodore +4 and Commodore 16/116. The push for platform “standardization” spread and started to become stronger day by day. The competition on that field was equally fierce. The first attempt back in 1983 brought to light the MSX standard. It was at that time when Microsoft focused its forces on making the MSX DOS operating system. Unfortunately, MSX didn’t catch the world’s attention. It became a success in Asian and South American markets only. MSX’s successors, namely MSX2/MSX2+, were altogether unknown apart from the fact that they existed.
C128. Source: Wikimedia
A true breakthrough is connected with the CP/M system, which happened to become a predecessor to DOS. CP/M was written in 1974 for the Intel 4004 processor, only winning its popularity later in the 80s. It found a strong market in Poland thanks to the home computers equipped with the Zilog Z80 processor. Initially, the most known manufacturers like Amstrad, Schneider, or Sinclair came to the chip with caution and didn’t want to get rid of their own proprietary standards. They even tried embedding a second processor slot beside the existing one as in the case of the Commodore 128, which resulted in higher computer prices, of course. It’s worth mentioning that CP/M demanded a diskette drive as it was written for the media. Because Z80 was used by Amstrad from the beginning, its computers gained a sort of advantage over competition. A new disk drive, the FDD3000 for Timex (ZX Spectrum clone), was also created. Timex was the de facto stand alone computer which sported its own processor and RAM.
Commodore 128 on the other hand moved significantly ahead of its time. One could say that the single case contained three separate computers, as it was able to work in three separate “computer” modes:
C64 Mode – classic Commodore 64 with Basic, or with windowed GEOS 2.0 operating system. This op-sys was modelled on Mac OS and many of its solutions were later “incorporated” by Microsoft. It was the Mac OS and the GEOS which, for the first time, introduced windows technology “on such a scale” and the commonly known layout with a menu and so-called top bar. Even an office suite existed in that time, but no one called it so. The suite consisted of the GeoWrite word processor, GeoCalc spreadsheet, GeoPaint graphics editor, and GeoPublish as a DTP application. The op-sys was distributed on one 5 1/4″ diskette with 170 kB memory and worked on 8-bit computers with 64 kB RAM memory!
C128 Mode – truly next generation computer programmed with new, revolutionary Basic and working under GEOS 128.
CP/M Mode – the 6502 processor went inactive and the Z80/A took the work on. This mode enabled 80×25 chars display resolution!
The machine was sold in two versions: with a casing similar to the Commodore Amiga 500, and with a box resembling the PC XT central unit with a separate keyboard. Sadly, these machines and the Sam Coupe, the successor to ZX Spectrum, didn’t gain popularity and the newly emerged generation of 16-bit computers practically sunk the 8-bit flagships ultimately. This happened despite the fact that the 8-bit PCs hadn’t yet achieved their best performance and possibilities. Nobody expected then that the DOS system would share the same fate only a decade later, or that forcing one proprietary operating system, e.g. AmigaDOS, Atari DOS, would turn against its manufacturers/developers in the future, bringing down legendary machines like the Atari ST and Commodore Amiga in the process…
MS DOS 6.22. Source: Wikimedia
MS DOS appears
MS DOS saw daylight at the end of 1980. It was kicked-off for the then new IBM/PC project and contained part of the CP/M code. It was called PC DOS until its 5th version when it was renamed to MS DOS. PCs started to gain in popularity in Poland in the late 80s/early 90s. At that time, there were three DOS versions on the market: MS DOS from Microsoft, PC DOS from IBM, and DR DOS from Novell. Although they seemed simple from today’s point of view, they demanded a fair amount of knowledge from their users. It was necessary to know the so-called internal and external interpreter commands. No wonder that soon both better and worse graphical and textual extenders (also called interfaces or, more pejoratively, “overlays”) facilitating DOS usage and its managerial tasks found ways to the market. It was at this time the legendary Norton Commander had surfaced and, although not efficient enough, it had the advantage of its ability to be stored on one diskette (after some tweaking).
Not every PC user was financially able to buy a hard disk at the beginning of the 90s. Hard disks were then dubbed Winchesters and they were heavy and noisy due to the two driving motors — particularly, the stepper motor controlling the disk heads was exceptionally clunky. In widespread usage were 5 1/4″ form factor diskette drives which used floppy disks of the same size. The XT PC computers contained Intel processors: i8088 (16/8 bit databus), i8086 (16/16 bit databus), and Nec 20 (equivalent of i8086 but slightly quicker). Floppy drives offered 360 kB on two sides of “soft” diskettes (so-called DD floppies). Only then, with a new generation of AT PCs (starting with i80286 processors), old floppy diskette drives saw an inflation in storage capacity to 1.2 MB and a new breed of FDDs emerged, able to store 1.44 MB.
Hard disks were also modest from our modern views, to say the least. The cheapest ones had 10 MB (yes, in megabytes!) raw capacity with the “better” and most popular models having only 20 MB. They needed to be formatted once a year. Using stepper motors for head movement was limited by thermal expansion and sooner or later a given head wasn’t able to read “its” path (cylinder/sector). The drives could only work in two positions — horizontal or vertical, and none of them could be put to work in a position other than the one with which it was formatted. This limit is a matter of the past nowadays. Modern drives implemented head movement corrections obviating thermal expansions.
Norton Commander was not the only kid in town. We would find, among others, such file managers as:
GEM – being developed by the Open Source community up to now.
GEOS (Breadbox Ensemble) – not a bad trial to port the famous C64 GEOS to the PC platform. Modern GEOS looks like Windows 98, uses shortcuts and long file names. Alas, too late.
WinDOS – graphical overlay which gained little interest.
MS DosShell – Microsoft graphical overlay attached to MS DOS 6.2x, together with MS Antivirus, and other tools.
Xtree – graphical interface ported from the Unix world. It is still under development. It can be found on many repos for GNU/Linux and Mac OS systems.
Windows, a true DOS killer
After MS Windows’ first release, the early symptoms of MS DOS’ aging had appeared. The so-called backward compatibility with XT started to make developers increasingly frustrated. Only a few know that up to the late 90s, the original IBM PC was switching to ROM BIOS, prompting users to plug in a tape recorder to the RS-232 port after removing all its disk drives and restarting the computer! Most MS DOS users don’t know that XMS (himem.sys) and EMS (EMM386.exe) memory drivers were… emulators of memory expansion cards forgotten long ago.
XT could address only 640 kB memory. The range between 384 kB and 1 MB space addresses was called UMB memory (Upper Memory Block) and was used as a sort of RAM disk for immediate programs (resident programs). Additional RAM modules were inserted into 8-bit ISA slots. The XMS and EMS division reflected another fight for PC “standards”. We users had to atone for the technology sins up to Windows XP. Lack of backward compatibility with DOS programs found in Windows 2000 and Windows XP is a direct result of a breaking-off with the legacy of the backward compatibility.
I intentionally put aside the Windows 95/98/ME family, as they were still de facto graphical overlays for the DOS system, and only partially broke off from former principles of memory usage. They mostly fixed the memory problem. But MS DOS was still enormously popular, and it didn’t help purposefully blocking DOS mode in Windows ME by Microsoft.
The old habit of using MS DOS is so strong that many users still keep Windows 98 just for the DOS system! Unfortunately, support for Windows 9x and for the DOS system has ended, hence the need for a DOS equivalent which could replace the simple, incredibly quick and attractive system which “past us so early” from financial causes. Many users were outraged by Microsoft’s decision to stop DOS development and support. The works of the nascent Open Source community are split in two. One group creates FreeDOS — it is open DOS, 100% compatible with MS DOS, supporting networks, FAT32, long file names and 32-bit access to devices. Others decided to develop DOS emulators. And here we end our short story about operating systems.
In the follow-up article we are going to take a close look to DOSBox, the best MS DOS emulator for Windows, Mac OS X and GNU/Linux systems, which is a viable replacement for standalone DOS and is able to run almost 100% of the old DOS apps. Stay tuned!
Translated by P202. Proof-read by Jake Conroy
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• Présentation générique de Microsoft Office Word 2007 : http://www.microsoft.com/france/office/2007/programs/word/overview.mspx
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Cours de C/C++


C++ is a general purpose programming language with a bias towards systems programming thatis a better Csupports data abstractionsupports object-oriented programmingsupports generic programming.I (Bjarne Stroustrup) am the designer and original implementor of C++. You can find the language, the techniques for using it, and the techniques for implementing it described in my books, my papers, in hundreds of books by others, and thousands of papers by others. There are far too many to list. Try a bookstore or a library. Answers to many questions about C++ can be found inmy FAQ,my C++ Style and Technique FAQmy C++ glossary, andsome interviews that I have given.Topics:Learning and teaching C++The ISO C++ standardApplications, compilers, etc.Embedded systemsLibraries, etc.C++ GUI libraries and toolsC++ design and historyGeneral resourcesCollections of articlesRelatedThe ISO C++ Standard: C++ is standardized by ISO (The International Standards Organization) in collaboration with national standards organizations, such as ANSI (The American National Standards Institute), BSI (The British Standards Institute), DIN (The German national standards organization). The original C++ standard was issued in 1998, a minor revison in 2003, and the work on the next standard "C++0x" is nearing completion.An almost complete C++98 standardThe draft C++0x standardMy C++0x FAQ.The ISO C++ standards committee (WG21) maintains an official site with information about the current state of the standards effort.My book The Design and Evolution of C++ describes the standards process and many of the design decisions madeMy book The C++ Programming Language (Special Edition) describes C++ as defined by the ISO standard.The standard committee's technical report on implementation issues and programming techniques related to performance. This should be of particular interest to programmers of embedded systems.The standard committee's technical report on library extensions that are likely to become part of C++0x (possibly after some revisions).My foreword to the printed version of the C++ standard.An 2004 evolution working group wish list; that is, the list of suggested additions to the C++ core language - note that only a fraction of these will be accepted into C++0x. Here is the current state of the evolution proposals.A standard library wishlist maintained by Matt Austern.a press release about C++ and its 1998 standard intended for non-programmersa press release about the availability of the 1998 standardThe standard is ISO/IEC 14882; it is available for downloading from the National Committee for Information Technology Standards Electronic Store. The cost is (as I write this) US$18.00 payable on-line via credit card. It is available as a book (on paper): "The C++ Standard", published by Wiley, ISBN 0 470 84674-7.Discussions about C++ and its use can be found in most forums covering programming. The usenet groups comp.lang.c++.moderated and alt.comp.lang.learn.c-c++ are good examples. These groups can be accessed in various ways including Google Groups (sort by date).Applications, compilers, etc.:A list of interesting C++ applications. I welcome suggestions for additions.A list of major industry applications and tools with evolution paths by Vincent Lextrait.An incomplete list of C++ compilers.Hans-J. Boehm's site for C and C++ garbage collection and a couple of sites offering collectors based on his work (University of Tokyo, geodesic.com).Test suites are available for C++. For example: Plumhall and Perennial.Libraries, etc.:A list of available C++ libraries known as the C++ libraries FAQ.Boost.org: A repository for libraries meant to work well with the C++ standard library.STLab: a collection of peer-reviewed and portable C++ source libraries, leveraging and extending both the C++ Standard Library and the Boost Libraries. That page also contains links to Adobe open source libraries, such as the Generic Image Library GIL.Doug Schmidt's site with information about a lot of things including the ACE framework and the TAO real-time ORB.High-performance numerical libraries provide excellent tests for interesting new programming techniques: The Object-Oriented Numerics Page is a list of libraries, projects, and mailing lists. For example: POOMA from LANL, Blitz++ from U. of Waterloo, MTL from Indiana Univarsity, and ROOT from CERN. These libraries, and many more, are available for downloading.SGI's implementation of the STL.Dinkumware's online standard library reference.Rogue Wave's online documentation of an implementation of the standard library.C++ design and history:1991-2006: Evolving a language in and for the real world: C++ 1991-2006.1979-1991: My paper about C++'s design and early years.A more comprenensive book: The Design and Evolution of C++.The Computer History Museum's site for early C++ sources (code, documentation, papers, etc.).An old, but unfortunately not completely irrelevant, net posting answering some unfair criticisms of C++.C++ GUI libraries and toolkits:FLTK.gtkmm.Qt.WxWidgets.and many more.Embedded systems:A confence paper on the basic ideas of using C++ in embedded systems.JSF++: The JSF air vehicle C++ coding standards.The ISO C++ committee's TR on performance.FAQs:My FAQ.My C++ Style and Technique FAQ.My C++0x FAQ.Marshall Cline's C++ FAQ.C++ Standards FAQ containing many valuable links (including some to implementations of the standard library).The learn.c-c++ newsgroup FAQ presents much information of use for C and/or C++ novices.Learning and teaching C++:My beginner's programming text book Programming: Principles and Practice using C++.A list of resources for people learning C++ from The Cambridge University Engineering Department.An extensive collection of book reviews can be found on the ACCU (The Association of C and C++ Users) site.General resources:C++.org; a C++ community site associated with ACCU.A list of C++ resources such as libraries, implementations, books, FAQs, other C++ pages, etc..A large (18,000+) collection of links to information on OO, OOP languages, etc. called Cetus.A catalog of C++ links from Forschungszentrum Julich.David Tribble's paper listing incompatibilities between C++ and C99.Greg Comeau's C++ related site in New York.Brad Appleton's collection of C++ and OOP links.The C++ section of the open directory project.A C++ idioms list.Collections of articles:Herb Sutter's collection of articles focussing on how to learn and use Standard C++ in a modern style.Kevlin Henneys' collection of thought provoking and useful articles about good C++ design and style.Artima's C++ source has a collection of C++ articles, columns, etc.Danny Kalev's C++ articles and news items on informIT.com.Videos:A C++0x talk given at University of Waterloo. Google, NYC. August 2007.A talk on C++0x initializer lists given at Google, Mountainview. February 2007.Several videos, audio recordings, and transcripts of talks, panels, and interviews from Dr. Dobb's Technetcast archieves.Related:Dennis Ritchie's homepage containing lots of interesting information about the history of C, Unix, and (AT&T) Bell Lab's computer science research center (where C++ was born).The Computer History Museum's Software Preservation Group's collection of C++ sources currently focusing on the early years. Contributions are most welcome (see the site for details).

Qu'est-ce que le Javascript?


Le Javascript est un langage de script incorporé dans un document HTML. Historiquement il s'agit même du premier langage de script pour le Web. Ce langage est un langage de programmation qui permet d'apporter des améliorations au langage HTML en permettant d'exécuter des commandes du côté client, c'est-à-dire au niveau du navigateur et non du serveur web.
Ainsi le langage Javascript est fortement dépendant du navigateur appelant la page web dans laquelle le script est incorporé, mais en contrepartie il ne nécessite pas de compilateur, contrairement au langage
Java, avec lequel il a longtemps été confondu.
Javascript a été mis au point par Netscape en 1995. A l'origine, il se nommait LiveScript et était destiné à fournir un langage de script simple au navigateur Netscape Navigator 2. Il a à l'époque longtemps été critiqué pour son manque de sécurité, son développement peu poussé et l'absence de messages d'erreur explicites rendant dure son utilisation. Le 4 décembre 1995, suite à une association avec le constructeur Sun, Netscape rebaptise son langage Javascript (un clin d'oeil au langage
Java développé par Sun). A la même époque, Microsoft mit au point le langage Jscript, un langage de script très similaire. Ainsi, pour éviter des dérives de part et d'autre, un standard a été défini pour normaliser les langages de script, il s'agit de l'ECMA 262, créé par l'organisation du même nom (ECMA, European Computer Manufactures Association).
Les navigateurs et le Javascript :
Version de Javascript
Navigateurs
JavaScript 1.0
Netscape Navigator 2.0, Internet Explorer 3.0, Opera, Mozilla
JavaScript 1.1
Netscape Navigator 3.0, Opera, Mozilla
Javascript 1.2
Netscape Navigator 4.0/4.05, Internet Explorer 4.0, Opera, Mozilla
Javascript 1.3
Netscape Navigator 4.06, Internet Explorer 5.0, Opera, Mozilla
Javascript 1.4
Netscape Navigator 6.0, Internet Explorer 6.0, Opera, Mozilla
Javascript 1.5
Netscape Navigator 6.0, Mozilla
Il ne faut pas confondre le JavaScript et le
Java. En effet contrairement au langage Java, le code est directement écrit dans la page HTML, c'est un langage peu évolué qui ne permet aucune confidentialité au niveau des codes (ceux-ci sont effectivement visibles). D'autre part l'applet Java (le programme) a été préalablement compilée, et une machine virtuelle permettant d'interpréter le pseudo-code doit être chargée en mémoire (du côté du client) à chaque chargement de la page, d'où un important ralentissement pour les applets Java contrairement au JavaScript.
Javascript
Java
Langage interprété
Langage pseudo-compilé(chargement d'une machine virtuelle)
Code intégré au HTML
Code (applet) à part du document HTML, appelé à partir de la page
Langage peu typé
Langage fortement typé (déclaration du type de variable)
Liaisons dynamiques: les références des objets sont vérifiées au chargement
Liaisons statiques: les objets doivent exister au chargement (compilation)
Accessibilité du code
Confidentialité du code
Sûr: ne peut pas écrire sur le disque dur
Sûr: ne peut pas écrire sur le disque durLe Javascript est case sensitive (en français sensible à la casse), c'est-à-dire qu'il fait une différence entre un nom de variable contenant ou non des majuscules. Ainsi la fonction bonjour(); n'est pas la même fonction que Bonjour();. Enfin, comme en langage C, chaque instruction se termine par un point-virgule (;).

A quoi ressemble un script?
Un script est une portion de code qui vient s'insérer dans une page HTML. Le code du script n'est toutefois pas visible dans la fenêtre du navigateur car il est compris entre des balises (ou tags) spécifiques qui signalent au navigateur qu'il s'agit d'un script écrit en langage JavaScript. Les balises annonçant un code Javascript sont les suivantes :

Masquage du script pour les anciens browsers
Ce code est ainsi invisible du point de vue du navigateur c'est-à-dire que ce dernier n'affiche pas dans sa fenêtre le code Javascript. Toutefois, d'anciens navigateurs, créés avant l'arrivée du Javascript, ne connaissent pas ces balises et donc les ignorent... Le code de votre Javascript risque donc de s'afficher sur votre belle page web et venir gâcher votre travail. L'astuce consiste donc à ajouter des balises de commentaires à l'intérieur même des balises de script. Ainsi les anciens navigateurs ignoreront tout simplement l'intégralité du script, tandis que les navigateurs récents l'interprèteront (comme il se le doit) comme du Javascript! Voici ce que donne le script une fois "masqué" pour les anciens navigateurs :

Ajouter des commentaires dans votre code
Comme dans tout langage de programmation, il est bon d'ajouter des commentaires dans un de ses scripts
d'une part pour s'y retrouver lorsque, plusieurs mois après, l'on voudra revoir son script
d'autre part par esprit d'échange pour permettre à vos visiteurs curieux de comprendre votre script (cela n'est pas toujours désiré...) Il ne faut pas confondre les balises de commentaires du langage HTML (destinées à masquer le script pour certains browsers) et les caractères de commentaires Javascript (permettant de documenter son script)!
Pour écrire des commentaires, Javascript utilise les conventions utilisées en langage C/C++
Pour mettre en commentaires toute une ligne on utilise le double slash : // Tous les caractères derrière le // sont ignorés
Pour mettre en commentaire une partie du texte (éventuellement sur plusieurs lignes) on utilise le /* et le */ : /* Toutes les lignes comprises entre ces repères
sont ignorées par l'interpréteur
de code */Il faut veiller à ne pas imbriquer des commentaires, au risque de provoquer une erreur lors de l'exécution du code!

Un exemple de Javascript
Comme généralement dans les tutoriels de Javascript on va faire afficher une boîte de dialogue suite au chargement d'une page HTML. Dans ce cas le script est totalement inutile voire ennuyeux pour vos visiteurs... Cet exemple montre ce que l'abus de Javascript peut donner... Il faudra apprendre à se servir du Javascript avec modération! Voici la page HTML correspondante :






développer en VB.Net


Avant toute autre chose, ne faites pas comme moi, ne passez pas d'entrée pour une tanche.
Donc, apprenez à prononcer correctement. Ne dites jamais : "Vébé-poin-nette", sous peine d'être immédiatement regardé comme le dernier des pécores attardés. Évitez "Vébé nette", trop commun, et qui ne vous distinguera pas suffisamment du vulgaire. Si vous voulez vraiment épater la galerie, et faire figure d'authentique informaticien, optez sans vergogne pour "Vébé-dotte-nette". Vous serez crédités dans l'instant de l'aura qui entoure les choisis, les élus, les membres du cénacle ultime, bref, ceux qui détiennent un savoir ésotérique impénétrable à la majorité des mortels.
Ensuite, et pour parler de ce qui vous attend dans les pages qui viennent, ce site a été réalisé avant tout pour servir de support au cours que j'ai le plaisir, l'honneur et l'avantage de dispenser devant mes étudiants. Cela explique en bonne partie (mais n'excuse pas) ses faiblesses et ses insuffisances. Donc, plutôt que de parler de tout ce qu'il contient, commençons par préciser d'avance tout ce qui y manque :
Ce n'est pas un manuel pour débutants en programmation. Le site s'adresse à un public ayant maîtrisé, au moins un minimum, les rudiments de l'algorithmique et de la programmation procédurale. Au cours des explications qui vont suivre, ces rudiments sont supposés connus. Si ce n'est pas ton cas, petit scarabée, passe ton chemin ! (ou plutôt, prends le temps de flâner du côté d'un sensationnel
cours d'algorithmique dont on ne dira jamais assez de bien). Après quelques dizaines d'heures de torture mentale, tu auras gagné plusieurs points de karma informatique et tu pourras revenir ici sans que les choses tournent en eau de Bouddha.
Ce n'est pas un véritable cours en ligne, même si cela s'en rapproche dangereusement. Il se peut très bien que pour une autoformation, les explications soient par moments un peu courtes, voire franchement insuffisantes. Car encore une fois, ce site est avant tout un support pour des démonstrations et des exercices effectués en direct live (et sans filet).
Ce n'est pas une référence complète du langage. D'abord, parce que celle-ci existe déjà dans l'aide du logiciel, ainsi que dans maints sites spécialisés. Ensuite, parce que mon propos d'enseignant n'est pas de faire ingurgiter quelques centaines d'instructions, de fonctions ou de détails techniques pointus, mais de faire comprendre les mécanismes fondamentaux d'un langage orienté objet et interface graphique. Je me suis donc limité aux aspects que j'ai estimés essentiels, et un programmeur VB devra donc nécessairement aller fouiner ailleurs pour trouver tous les détails techniques qui pourront lui être utiles.
Les problèmes liés au traitement des bases de données sont ignorés : ceci parce que
la spécialité de Master M2 dans laquelle ce cours est dispensé consacre déjà suffisamment d'autres enseignements à cet aspect.
Ce bref instant d'autocritique passé, je peux à présent, et sans fausse modestie, énumérer les principales qualités de ce merveilleux site (il en a sans doute bien d'autres, mais je compte sur mes estimés lecteurs pour les remarquer par eux-mêmes).
Il se veut pédagogique. J'ai essayé, dans toute la mesure du possible, de m'exprimer dans le langage le plus abordable qui soit. Les termes techniques seront expliqués au fur et à mesure, et seront souvent illustrés par de fulgurantes métaphores aussi poétiques que suggestives. Ou alors, à la rigueur, par de petits dessins très jolis et toujours de bon aloi.
Il est en français, et qui plus est sans - trop - de fautes d'orthographe, ce qui, vous en conviendrez sans doute, ne gâte rien, surtout quand on est francophone.
Il présente un certain nombre d'exemples, sous forme d'exercices corrigés.
Il contient nombre de saillies drolatiques d'une telle finesse que son auteur a dû à plusieurs reprises décliner des offres de participation aux Grosses Têtes.
Last but not least, il est entièrement gratuit (ce à quoi les mauvais esprits rétorqueront qu'on en a effectivement pour son argent).

Il est impossible de parler de Programmation Orientée Objet sans parler d'objet, bien entendu. Tâchons donc de donner une définition aussi complète que possible d'un objet.Un objet est avant tout une structure de données. Autrement, il s'agit d'une entité chargée de gérer des données, de les classer, et de les stocker sous une certaine forme. En cela, rien ne distingue un objet d'une quelconque autre structure de données. La principale différence vient du fait que l'objet regroupe les données et les moyens de traitement de ces données.Un objet rassemble de fait deux éléments de la programmation procédurale :
Les champs :Les champs sont à l'objet ce que les variables sont à un programme : ce sont eux qui ont en charge les données à gérer. Tout comme n'importe quelle autre variable, un champ peut posséder un type quelconque défini au préalable : nombre, caractère, ..., ou même un type objet.
Les méthodes :Les méthodes sont les éléments d'un objet qui servent d'interface entre les données et le programme. Sous ce nom obscur se cachent simplement des procédures ou fonctions destinées à traiter les données.
Les champs et les méthodes d'un objets sont ses membres.Si nous résumons, un objet est donc un type servant à stocker des données dans des champs et à les gérer au travers des méthodes.Si on se rapproche du Pascal, un objet n'est donc qu'une extension évoluée des enregistrements (type record) disposant de procédures et fonctions pour gérer les champs qu'il contient.

Avec la notion d'objet, il convient d'amener la notion de classe. Cette notion de classe n'est apparue dans le langage Pascal qu'avec l'avènement du langage Delphi et de sa nouvelle approche de la Programmation Orientée Objet. Elle est totalement absente du Pascal standard.Ce que l'on a pu nommer jusqu'à présent objet est, pour Delphi, une classe d'objet. Il s'agit donc du type à proprement parler. L'objet en lui-même est une instance de classe, plus simplement un exemplaire d'une classe, sa représentation en mémoire.Par conséquent, on déclare comme type une classe, et on déclare des variables de ce type appelées des objets.Si cette distinction est à bien prendre en considération lors de la programmation en Delphi, elle peut toutefois être totalement ignorée avec la plupart des autres compilateurs Pascal. En effet, ceux-ci ne s'appuient que sur les notions d'objet et d'instance d'objet.Nous adopterons par conséquent ici ce point vue, qui simplifie le vocabulaire et la compréhension.On pourra remarquer que FreePascal pour sa part définit une classe comme un "pointeur vers un objet ou un enregistrement".

La Programmation Orientée Objet est dirigée par 3 fondamentaux qu'il convient de toujours garder à l'esprit : encapsulation, héritage et polymorphisme. Houlà ! Inutile de fuir en voyant cela, car en fait, il ne cachent que des choses relativement simples. Nous allons tenter de les expliquer tout de suite.

Derrière ce terme se cache le concept même de l'objet : réunir sous la même entité les données et les moyens de les gérer, à savoir les champs et les méthodes.L'encapsulation introduit donc une nouvelle manière de gérer des données. Il ne s'agit plus de déclarer des données générales puis un ensemble de procédures et fonctions destinées à les gérer de manière séparée, mais bien de réunir le tout sous le couvert d'une seule et même entité.Si l'encapsulation est déjà une réalité dans les langages procéduraux (comme le Pascal non objet par exemple) au travers des unités et autres librairies, il prend une toute nouvelle dimension avec l'objet. En effet, sous ce nouveau concept se cache également un autre élément à prendre en compte : pouvoir masquer aux yeux d'un programmeur extérieur tous les rouages d'un objet et donc l'ensemble des procédures et fonctions destinées à la gestion interne de l'objet, auxquelles le programmeur final n'aura pas à avoir accès. L'encapsulation permet donc de masquer un certain nombre de champs et méthodes tout en laissant visibles d'autres champs et méthodes. Nous verrons ceci un peu plus loin.Pour conclure, l'encapsulation permet de garder une cohérence dans la gestion de l'objet, tout en assurant l'intégrité des données qui ne pourront être accédées qu'au travers des méthodes visibles.

Si l'encapsulation pouvait se faire manuellement (grâce à la définition d'une unité par exemple), il en va tout autrement de l'héritage. Cette notion est celle qui s'explique le mieux au travers d'un exemple. Considérons un objet Bâtiment. Cet objet est pour le moins générique, et sa définition reste assez vague. On peut toutefois lui associer divers champs, dont par exemple :
Les murs
Le toit
Une porte
L'adresse
La superficie
On peut supposer que cet objet Bâtiment dispose d'un ensemble de méthodes destinées à sa gestion. On pourrait ainsi définir entre autres des méthodes pour :
Ouvrir le Bâtiment
Fermer le Bâtiment
Agrandir le Bâtiment
Grâce au concept d'héritage, cet objet Bâtiment va pouvoir donner naissance à un ou des descendants. Ces descendants vont tous bénéficier des caractéristiques propres de leur ancêtre, à savoir ses champs et méthodes. Cependant, les descendants conservent la possibilité de posséder leur propres champs et méthodes. Tout comme un enfant hérite des caractéristiques de ses parents et développe les siennes, un objet peut hériter des caractéristiques de son ancêtre, mais aussi en développer de nouvelles, ou bien encore se spécialiser.Ainsi, si l'on poursuit notre exemple, nous allons pouvoir créer un objet Maison. Ce nouvel objet est toujours considéré comme un Bâtiment, il possède donc toujours des murs, un toit, une porte, les champs Adresse ou Superficie et les méthodes destinées par exemple à Ouvrir le Bâtiment.Toutefois, si notre nouvel objet est toujours un Bâtiment, il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'une Maison. On peut donc lui adjoindre d'autres champs et méthodes, et par exemple :
Nombre de fenêtres
Nombre d'étages
Nombre de pièces
Possède ou non un jardin
Possède une cave
Notre Bâtiment a ici bien évolué. Il s'est spécialisé. Avec notre Maison, nous sommes allés plus avant dans les détails, et elle est à même de nous offir des services plus évoluées. Nous avons complété ce qui n'était qu'un squelette.Ce processus d'héritage peut bien sûr être répété. Autrement dit, il est tout à fait possible de déclarer à présent un descendant de Maison, développant sa spécialisation : un Chalet ou encore une Villa. Mais de la même manière, il n'y a pas de restrictions théoriques concernant le nombre de descendants pour un objet. Ainsi, pourquoi ne pas déclarer des objets Immeuble ou encore Usine dont l'ancêtre commun serait toujours Bâtiment.Ce concept d'héritage ouvre donc la porte à un nouveau genre de programmation.On notera qu'une fois qu'un champ ou une méthode est définie, il ou elle le reste pour tous les descendants, quel que soit leur degré d'éloignement.
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